une campagne électronique ARCHIVES <- Page précédente - Page suivante -> La cuvée de notre amour m'enivre chaque jour. Notre amour est un fil d'or qui ne se brisera qu'à la mort !!!!!!! Michael je t'aime Paule Siffert - <siffert@glion.ch> 26/02/98 L'amour est le temps de prendre connaissance de la vérité, du partage, de la fidèlité et c'est pour l'éternité. Pour l'instant l'amour est plus beau que tout. Tout est beau, le soleil est levé mais nous on dort sur une ile deserte. Pierre Lefort - <cyberex@rocler.qc.ca> 24/02/98 "L'essence de mon amour" Comment te dire ce que tu es pour moi ? S'il me fallait un gout: Celui de tes baisers, si tendres et si sucrés Si c'etait une odeur: Le parfum de ta peau, subtile et ennivrant Si c'etait un contact: Le touché de ton corps, tellement doux et sensuel Si tu etais un son: La douceur de ta voix, melodieuse et troublante S'il fallait une image: Ton sourire, ton regard: charmeurs, irresistibles Mais c'est un sentiment, qui, seul, pourrait decrire Ce que tu representes et ce que tu m'inspires Ce sentiment si noble a un nom enchanteur Plus riche que ces vignobles qui abbreuvent mon coeur Un mot qui s'est construit, par toi jour apres jour Ce mot qui m'a appris que tu n'es que l'amour. Fabrice - <p9565@iupmime.univ-lemans.fr> 20/02/98 Un deux et trois, et toi ou moi 1 Elle écrit qu'elle a peur. Que son coeur bat trop vite les nuits où elle entend des pas dans les couloirs de son imagination. Elle souffre de toutes les heures. Ne sait plus pourquoi elle est vivante. Elle a des souvenirs avec un mec qui n'a pas compris. Elle prend des cachets pour effacer le temps. Mais le temps revient toujours. Elle écrit des lettres qu'elle déchire. De l'enfance venait le besoin d'être comme tout le monde. 2 A quoi servent les jours sans toi ? Les nuits plus longues que la mort. La mort qui ne vient pas comme le refus d'une consolation. La main de maman sur le front enfiévré d'un instant de l'enfance. Une page que l'on tourne et qui ne finit pas de tourner dans sa tête. Je suis seul et tu le sais, dans mon coeur le sang refoule vers des plaies inguérissables. Je suis seul et tu t'en fouts. Toutes les nuits, les heures me crachent à la figure, le mépris, la dérision, et des mots qui vont tout seuls faire le trottoir où je te vois. Où je te crois. Je devine des territoires faits de lumières et de folie, quand ton ombre dans le soir danse avec tous mes souvenirs, ma mémoire comme l'espoir vont filer ainsi que tes collants. 3 Elie, tu étais là, embarrassé par ta collection d'armes, tu buvais trop, fumais pas moins, dans la torpeur où tu voyais le monde il n'y avait plus que des ombres folles. Parfois, le frôlement d'une jupe, d'un parfum, le vent, que sais-je, te livrait à l'idée qu'il y avait un monde autours de toi. Tu cherchais des repères, besoin de comprendre, de sentir la vie comme un masochiste dans un orgasme captif. Etrange Elie, avec tes livres et tes nuits blanches. Image d'un ange en feu traversant le ciel. Et puis, tu te souviens ? Il y avait cette fille qui cherchait le chemin de ton coeur. Mon coeur est là-bas, mademoiselle, suivez la balle. BENEDETTI Denis - <asmode@club-internet.fr> 18/02/98 Ton amour m'habille, et je streaptise pour toi mon amour. Pierre-Paul Gingnow - <gingrowjb@polyinter.com> 12/02/98 Toujours aimer, toujours souffrir, toujours mourir. Fabien Darne - <Fabien.Darne@eudil.fr> 11/02/98 Je t'aime. je t'adore et j'espere toujours pouvoir me reveiller avec toi dans mes bras, pouvoir rire avec toi meme les chicanes je l'espere ne detruiront notre amour car il est special et eternel Marcel Larouche - <andre@lanzen.net> 11/02/98 Je vous ai rencontré, mon Amour et j'ai pâli Je vous ai fui - trop d'amour cherchant l'oubli La ville m'était errance - sans amour velours mes nuits Tant d'hommes ! Tant d'absences ! Tant d'amours vertige - ma vie. Et puis vous fûtes là, un beau jour et j'ai frémis La vie me quittait, par amour calice de nuit Et nous nous sommes croisés, sans retour langues brûlées... Les années ont passé, anamour je suis mariée Et votre enfant va naître, oh ! Amour ! d'un autre lit Et je meurs, et je vis, car l'Amour a fleuri Je trahis, tu trahis, par amour c'est ainsi. Anne Landréat 9 février 1998. VOEVODSKY Dimitri - <d.voevodsky@acfci.cci.fr> 10/02/98 "L'amour c'est n'avoir jamais à dire que l'on est désoler" "l'amour naît dans un regard grandit dans un baiser et meurt dans une larme" Typhanie Coulon - <typhanie.coulon@hol.fr> 4/02/98 L'amour est tout simplement l'art de donner. Janinou Othman - <janinouo@mail.cfc.net.ma> 3/02/98 <- Page précédente - Page suivante ->